Le Train Miniature Gallaicois
Réouverture au public
Le Train Miniature Gallaicois Réouverture au public
Transcription :
Ce réseau, je vous l'avais présenté il y a quelques années dans Aiguillages, c'est celui du Train Miniature Gaillacois. Installé en Occitanie, dans le département du Tarn à Gaillac, globalement, il n'avait pas beaucoup changé depuis tout ce temps, mais cet été, il s'est produit une petite révolution.
L'ensemble des relais qui permettaient de le faire fonctionner et occupaient à eux seuls une pièce de 25 mètres carrés ont été mis à la retraite et remplacés par 4 grosses valises seulement, placées sous la maquette. Le tout est piloté désormais informatiquement par un logiciel répondant au doux nom de Ladybird, développé par Gérard Perrin et son entreprise Ligéa automatisme. Après un an de fermeture au public, le club rouvrait enfin ses portes en début d'été. J'ai profité de la journée inaugurale pour tourner un nouveau reportage et vous faire redécouvrir ce réseau sur cette chaîne. Bonjour et bienvenue dans Aiguillages !
Bonjour Laurent !
Bonjour ! Qu'est-ce qui se passe aujourd'hui ici à Gaillac ?
L'inauguration ! On a renouvelé le réseau au niveau automatisme, au niveau système d'exploitation. On avait fermé après la saison 2023 en septembre, et on réouvre après d'un an d'absence. Donc, maintenant, on appelle les visiteurs à revenir.
Je me rappelle d'une grande salle où il y avait plein de relais, donc ça, c'est fini ?
C'est fini ! Maintenant, on a informatisé un peu comme à la SNCF aujourd'hui. On passe à un système d'exploitation informatisé et effectivement, la salle nous sert aujourd'hui de stockage, et peut-être demain de lieu de convivialité où on pourra casser une petite croûte quoi !
Bon, on peut visiter un petit peu, pour voir à quoi ressemble la maquette ?
Bien sûr ! Alors elle n'a pas trop changé. Nous avons toujours cette gare TGV qui n'a pas bougé, cette partie-là n'a pas trop bougé finalement. Par contre, là on la partie « Gaillac » … On la verra mieux de l'autre côté où on a accueilli dans nos membres l'année dernière Bernard, qui est un grand spécialiste des maquettes, magnifiques maquettes. Là, on voit, il a déjà fait les maquettes du fond, là, avec du trompe l'œil et tout ça, c'est magnifique ! Il va faire d'autres maquettes. Ces maquettes, il les fait chez lui et après, il les ramène ici, les installe et il les met en place. Donc, là, on voit bien, on est vraiment au pré-décor, on voit bien que la peinture, c'est un petit peu, on va dire, barbouillé, c'est vraiment pour donner l'esprit, pour ouvrir. Là, il fallait absolument qu'on ouvre. Donc là, vraiment, toute cette partie-là, on la verra peut-être de l'autre côté, le gros travail été fait ici, plus loin aussi, on a fait un gros travail d'intégration. Cette montagne-là, elle existe... Je l'ai toujours connue moi personnellement, donc elle a toujours existé, je dirais. Donc on n'y a pas touché cette année. De l'autre côté, pareil, le bout de montagne, on n'y a pas touché. Donc ça, c'est historique presque. Il va peut-être y avoir des choses à faire, mais ça, on n'y a pas touché.
Cette partie-là est aussi automatisée avec le nouveau système ?
Ha par contre tout le système... On a vraiment basculé toute l'intégralité du réseau, et on a tout déposé pour tout reposer le nouveau système. On n'a pas voulu faire de moitié moitié. Il en était question il y a deux ans de se dire ont fait un seul circuit. Pour mémoire, dans le temps, il y avait six circuits, deux lignes TGV, une ligne voie unique et trois lignes courantes, on va dire. Voie 1, voie 2, voie 3. Là, aujourd'hui, avec le nouveau système d'exploitation, on peut dire qu'il y a plus qu'un grand circuit puisque tout est interpénétré, tout est interconnectable. Donc, là, vraiment, on va rejouer !
C'est un grand chantier quand même ? Parce que vous avez quelques chiffres en tête, sur la longueur du réseau ?
Le réseau en voies, en cumulé, en voies, je crois qu'on a entre 1000 et 1200 mètres de voies, donc l'air de rien 1200 mètres de voies comme ça, ça commence à faire. En câbles, il faudrait demander, mais j'ai déjà oublié. Il y a beaucoup de fils, il y a quand même beaucoup de fils en dessous.
Peut-être un peu moins qu'avant quand même ?
Un petit peu moins, parce qu'on n'a pas un retour à salle des relais. Là, vraiment, on arrive directement les cartes, les cartes sont en dessous du réseau, donc qu'effectivement on a quand même beaucoup moins de câbles, mais beaucoup moins, ça ne veut pas dire 1/10. On a peut-être moitié moins. Mais avant, on avait environ 80 kilomètres de câbles.
Oui, c'est quand même assez énorme ! L'originalité ici, c'est que les visiteurs peuvent marcher presque sur le réseau ?
Donc effectivement, quand... on peut avoir d'ici une vue assez, on a un panorama et d'ailleurs, il y a des gens qui s'y arrêtent. Quand on est ici, on, a quand même un panorama... Bon, moi, je suis un peu grand ! Mais on a un panorama effectivement, là, du réseau, c'est assez impressionnant effectivement. On voit de la circulation, on voit le chantier et on voit les travaux à venir. Mais c'est quand même assez impressionnant, oui !
Alors on est dans la région quand même ?
Tout à fait, on est vraiment, c'est même plus sud-ouest, on est vraiment local : Tarn, Toulouse, Haute-Garonne, on est vraiment dans ce coin-là avec effectivement Gaillac derrière on voit Rabastens, Matabiau, Saint-Sulpice, et là-bas, on a Lexos. Donc on est vraiment dans ce coin nord Toulouse du réseau. C'est localisé quoi à part le TGV, mais il arrive le TGV, il arrive !
Donc des infrastructures qu'on a mis en place, les nouvelles infrastructures, on peut s'appuyer parce qu'on se rendait compte que les visiteurs avaient tendance à s'appuyer, donc on a voulu mettre des choses comme ça qu'on a un peu rehaussées. Ça permet de s'appuyer puis quand on a des jolis décors comme ça. Enfin, il faut voir, on déguste, on se régale, on voit vraiment, on est vraiment à l'approche, on est vraiment là. C'est bluffant. Là, c'est Bernard qui nous a fait ça. Il est rentré ce soir, mais c'est joli, c'est joli, c'est très très joli.
En même temps, si vous voulez traiter tout le réseau comme ça, vous en avez pour un moment avec la surface que vous avez !
Avec le temps ! Mais après, bon, Bernard, on va tous l'aider, là, on a. Quand on va fermer, là, je pense, au mois de septembre, on va ressortir, on a un échafaudage qui permet donc d'enjamber la largeur et on va se mettre sur l'échafaudage pour travailler là. Là, on ne peut pas travailler en finesse, on est trop loin. Là aussi, on est un peu loin, donc on ne va pas pouvoir travailler en finesse là, effectivement, il y a beaucoup de travail, il est bien avancé, il y a beaucoup de travail. Là, futur travail, c'est la verrière. Tout le monde connaît Matabiau, tout le monde sait qu'il y a une verrière à Matabiau.
Donc elle va venir un jour, c'est ça ?
Ça devrait venir assez rapidement, je pense. Je pense que l'année prochaine, elle sera installée, je pense. Et là, contrairement à avant, toutes les voies sont opérationnelles. À la fin d'où la raison pour laquelle on a changé de système... À la fin, on ne pouvait faire tourner qu'un seul train sur voie une. Là, tout refonctionne.
Ce qui vous a motivé à faire ce changement, c'est que vous étiez arrivé à une limite dans l'exploitation ?
Voilà, tout à fait. Surtout, on a été aidé par le concepteur du système Ligéa, Gérard. Il nous a bien aidé, il nous a convaincu qu c'était dans notre cas, parce qu'il y a d'autres systèmes qui sont très bien, qui nous apparaissaient très bien dans le cas d'un réseau neuf, on a rien, on construit, il y a plein de systèmes. Nous, on avait un problème, c'est que c'était un réseau ancien, beaucoup de vieux câblages, beaucoup de vieilles coupures. Donc il nous fallait quand même un outil assez souple, assez agile comme on dit maintenant que ne nous apportait pas les produits du marché qui existent, on ne va pas les critiquer, ils sont très bons, mais dans notre cas, ils n'étaient pas facilement configurables.
Ce n'était pas adapté pour vous !
Gérard Perrin, le concepteur du nouveau système d'exploitation, faisait partie des invités de cette journée d'inauguration. Je vous propose de le rencontrer juste avant de poursuivre la visite de la maquette.
Oui, oui, c'est un très très très gros projet par rapport aux réseaux que j'ai l'habitude d'équiper. Le plus gros que j'avais fait précédemment faisait la moitié de celui-là. Mais on va dire que la plupart des réseaux, c'est à peu près le quart, le quart d'un réseau comme celui-là.
Ils m'ont dit que peut-être, ils vous avaient fait faire un peu des cheveux blancs, non ? Ça a été ?
Oui, ça a été oui, j'ai eu des cheveux blancs parce que, de par l'ampleur, le nombre d'aiguillages, de voies, de signaux, d'itinéraires, euh bon bah on tend toujours le dos, on se dit est ce que ça va passer quoi, parce que là, comme c'est un très gros réseau en termes de réponse des logiciels informatiques et de l'électronique, ce n'est pas tant, ce n'est pas tant la fiabilité, c'est pas la fiabilité des cartes, mais c'est plutôt les temps de communication, etc qui peuvent... Qui pourraient conduire à ce que ça ne fonctionne pas. Mais, mais tout s'est bien passé. Ce qui veut dire que j'ai bien conçu mon système dès le départ, même s'il n'était pas prévu, ou j'avais jamais imaginé faire des réseaux de cette taille-là.
Si le sujet vous intéresse, j'ai créé un nouveau bonus. C'est une interview en longueur de Gérard. Avec Laurent, il vous en dira beaucoup plus sur son système d'exploitation et comment s'est déroulé son implémentation sur ce grand réseau du Train Miniature Gaillacois. Vous le retrouverez dans la section « Membre » de cette chaîne et sur la page « Bonus » du site d'Aiguillages. Et pendant ce temps, on s'enfonce un peu plus encore à l'intérieur du réseau pour se rapprocher de la partie Toulouse et de sa célèbre gare.
Alors les étapes... La prochaine étape-là maintenant pour vous, qu'est ce que c'est ?
La verrière de Matabiau, tout ce qui est décor, le ballastage, il faut refaire du ballastage sur les voies, parce que là, on voit bien qu'elles sont nues, la voie est posée directement, donc c'est nu. Les décors, là, on a vu, c'est un peu brut. Il faut remettre un peu de flocage, il faut mettre des arbres. La partie où on est passé tout à l'heure là où c'est vraiment nu, il va falloir mettre du grillage et vraiment faire du décor, donc on va faire du Map, parce que nous, on n'utilise pas du plâtre, on fait du Map, c'est un produit qui ne prend pas trop vite, contrairement au plâtre.
C'est une sorte de colle ?
C'est une colle. C'est utilisé pour de la colle pour le placo, mais en fait, c'est du plâtre plus costaud. Ça s'adapte bien parce que c'est assez rigide, c'est assez costaud. Le problème, c'est que c'est lourd. Il faut éviter d'en mettre trop épais parce que bon, on a quand même des structures légères, on va dire.
Et puis après on a la carrière qui existait déjà. Tout le fond là-bas, c'est vraiment nouveau, ça n'a pas deux ans. Il y a les éoliennes, elles existaient, mais derrière les éoliennes, tout ça, tout le fond, ça a un an, un an et demi. Donc là, avant, la cathédrale était ici, on l'a déplacée là-bas. Là, on a refait, on a rafraîchi la place de Rabastens, on a un peu rafraichi toute cette partie-là. On a fait cette partie-là avec le Tarn, symbolisé comme ça, avec un château qui a été retrouvé, avec une petite montagne. Avant, il n'y avait rien là. Et surtout, là, on a fait un plateau avec une gare. C'est un embranchement particulier, on a une petite gare et elle, elle a quinze jours. Elle a été mise il y a quinze jours. Ça permet de couvrir toutes les voies qui sont en dessous.
Et je vois qu'il y a une centrale, donc c'est autonome par rapport au reste du réseau ?
Effectivement, on a des zones, on va avoir des zones, les zones de gare, il y aura la possibilité de gérer à part du logiciel. Ça permettra quand il y a du monde, ça permet aux gens s'ils veulent prendre un plaisir dans un coin. Si par exemple, lors d'une permanence, on peut mettre quelqu'un là-haut, quelqu'un à la caisse, et puis une ou deux personnes qui tournent, qui répondent à vos questions, qui répondent aux questions des visiteurs et vont jouer, faire des manœuvres et tout ça. Ça, c'est une chose que vous pouvez faire avant, mais qui se perdait parce qu'on n'était pas assez nombreux. Là, vraiment, il y a des gens qui sont revenus, on a des outils qu'on a pu adapter, donc ça permet aujourd'hui, effectivement... On peut être interactif maintenant.
En soit, le réseau, il peut tourner avec une seule personne qui est sur l'ordinateur ?
Si on voulait, mais alors ce serait moins intéressant, mais même si on voulait, on pourrait programmer, il y aurait peut-être un investissement en temps, on programme une journée et les trains partiraient. Et nous, on pourrait être ici ou faire de la manœuvre ou faire de l'échange avec les gens et ça tournerait tout seul. Ça, ça peut. Aujourd'hui, ça peut. Est-ce que c'est une volonté ? Pas trop ! Parce que le but, on vient ici pour s'amuser, pour recevoir, mais c'est avant tout le plaisir de jouer avec. Faut pas rêver ! Donc, aujourd'hui, il y a tout ça. Et ça oui, ça a juste quinze jours, ça a été installé, il y a quinze jours, pour mettre sur le plan de voies. C'est une petite gare de campagne. Ça va avec un système que connaissent nos chers modélistes, on va dire. C'est un produit du commerce qui fonctionne très bien, ce qu'on disais tout à l'heure, il y a des produits qui fonctionnent très bien.
Donc, là, il est complètement autonome ?
Il est complètement autonome.
Le système ne peut pas du tout le prendre en charge ?
Il fait ce qu'il veut là.
Donc, là, il est vraiment dans les manœuvres, il fait des petites manœuvres. C'est aussi le plaisir du modélisme, on arrive à jouer. On voit, on s'amuse...
Oui, au-delà de l'automatisation, c'est important de garder cette dimension-là aussi.
Mais dès qu'on arrive en gare, il y a de la manœuvre. Quoi qu'on en dise, la manœuvre, c'est plus ou moins manuel. Faut être plusieurs pour décrocher effectivement, pour dételer...
Donc tout ça là, c'est récent c'est de l'année dernière tout ça. ça c'est plus vieux, mais ça a été rafraichi l'année dernière. On a vraiment des choses... mais après l'avenir c'est ça, c'est du flocage partout, finir d'habiller tout ça. Tout ça, on fini d'habiller, tout ça...
Vous vous êtes donné un délai pour faire tout ça ?
Non, parce que quand on aura fini là, il faudra rafraîchir la montagne.
Donc c'est permanent !
Et puis je pense que comme d'habitude, on va éviter de toucher le plan de voies, parce que là, il est figé, il y a l'automatisme derrière. Donc comme du temps des relais, je pense qu'on va être cadrés sur le plan de voies, sur le reste, je pense qu'on peut s'autoriser ce que l'on veut, fermer, mettre des couvertures, on peut mettre ce que l'on veut là par contre !
Des travaux de rafraîchissement de la maquette qui ont été réalisés parallèlement à son informatisation et qui, semble-t-il, ont fait du bien au club qui a gagné à l'occasion pas mal de nouveaux adhérents.
Suffit de regarder les maillots rouges, quoi que là, on en a beaucoup. On est une vingtaine.
Il y a eu un renouvellement, j'ai l'impression ?
Il y a eu un renouvellement. On a eu une année assez exceptionnelle. À un moment donné, on a mis un peu un genou à terre, on était un petit peu démoralisé, mais il y a plein de membres qui nous ont découverts, une quinzaine de membres qui sont arrivés comme ça, d'un seul coup, mordus, dont le fameux Bernard pour les maquettes. Mais quand je dis toujours Bernard, il n'y a pas que Bernard. Il y a beaucoup de gens qui dans leur rôle ont un rôle très actif. Déjà pour l'ossature, il y a des gens qui nous ont fait l'ossature, il y a des gens qui nous ont fait du câblage, il y a des gens qui ont fait de la peinture, du ménage. Tout le monde a été très actif, il n'y a pas eu de... Là, on a une belle équipe ! L'association a un nouveau souffle, là, il faut que ça... Ça va continuer !
Et puis le Train Miniature Gallacois peut compter sur le soutien d'une association voisine. Le Train Miniature Castrais, dont certains membres étaient présents pour donner un coup de main pendant les travaux et c'est assez rare dans la région pour que cela soit souligné, le Rail Miniature Castrais organise une exposition de modélisme ferroviaire. Elle se déroulera à la fin du mois d'octobre.
Il y a une exposition qui aura lieu les 26 et 27 octobre pendant les vacances de Toussaint. Donc oui, c'est très très rare dans la région. La dernière était en 2017 à Castres, donc ça fait quand même quelques années et oui, la région a du mal à faire des expositions. Il y a Olonzac, de temps en temps une fois par an qui n'est pas très loin. Mais après Toulouse, tout ça, il ne se passe rien, et c'est dommage !
Donc Castres, ça sera l'occasion de venir voir ce que les modélistes locaux font. Qu'elle va être le programme ? Qu'est-ce qui est prévu ?
Alors, l'exposition sera sur deux jours. Il est prévu... Il y aura deux salles, une petite salle avec les Modulinos chers à Castres, avec quelques réseaux tout petits, des réseaux d'un mètre sur un mètre. Il y aura aussi un FabLab dans cette petite salle et après, il y aura la grande salle où il y a eu déjà l'exposition où on retrouvera les professionnels, les grands réseaux, Mirepoix qui vient avec un réseau de 12 mètres et après quelques artisans et quelques fabricants.
Bon, donc ça ne va pas se faire dans les locaux du club, ça se fait à l'extérieur, c'est ça ?
Tout à fait dans les locaux du club il y a le réseau fixe, donc nous ne pouvons pas accueillir une exposition. Donc ça se fait à la salle Gérard Philippe qui est proche du centre-ville.
Et entre temps, on peut toujours venir visiter le réseau du club puisque lui, il est ouvert au public assez régulièrement ?
Tout à fait. Le réseau est ouvert tous les samedis de l'année, sauf si ça tombe le jour de Noël. C'est le seul jour où on ferme et de 14 h 30 à 18 h, l'entrée est gratuite et c'est ouvert tous les samedis.
Quant au Train Miniature Gaillacois il est donc de nouveau ouvert à partir de cette saison, pour connaître les horaires de visites possibles le plus simple est de se connecter à son site web à l'adresse train-miniature-gaillacois.Fr. On se retrouve lundi prochain sur cette même chaîne avec un reportage qui sera cette fois-ci consacré au patrimoine ferroviaire, mais dès jeudi sur la chaîne Aiguillages.
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